Le type de relation, élément fondamental dans la représentation de la connaissance (qui apparaît dans cet exemple entre ‘<’ et ‘>’) définit comment est la relation entre les concepts (ou les objets de l'exemple) : il en indique la fonction, si elle est de catégorisation ou autre.
Observer que “le chat”, comme toutes les choses, appartient à plusieurs catégories connues, dans cet exemple nous en avons indiqué seulement 3, mais elles auraient pu être beaucoup plus nombreuses.
Les types de relation aussi sont des “catégories”, dans ce cas relationnelles : voir entre ‘{‘ et ‘}’, la catégorie relationnelle correspondant au type de relation.
Toute
conceptualisation contiendra toujours la catégorisation, même si
pour analyser il est possible d'identifier la catégorisation et “les
autres relations”, qui sont elles aussi fondamentales.
Catégoriser
<n'est pas équivalent à>
conceptualiser |
Catégoriser <n'est pas suffisant pour>
conceptualiser |
Conceptualiser <contient>
catégoriser |
Ce type de
connaissance est classé comme “connaissance déclarative”, car elle est exprimée en
termes de proposition : concept <relation verbale> concept.
Ce type de
représentation (suffisamment simplifiée ici) est à la base de tout
modèle ou paradigme de
représentation de la connaissance.
Apprendre (ou “connaître”, ou
découvrir) c'est établir des
relations
verbales entre des concepts |
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